Dernières actualités avec #trafic de drogue


Le Parisien
3 days ago
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Clermont-Ferrand : un homme entre la vie et la mort après avoir reçu une balle dans le dos
Les investigations, qui n'ont débuté que depuis quelques heures, devront déterminer les circonstances exactes des faits. Un jeune homme est entre la vie et la mort après avoir reçu une balle dans le dos, ce dimanche matin, à Clermont-Ferrand ( Puy-de-Dôme ), a fait savoir le parquet au Parisien, confirmant une information d'Ici Pays d'Auvergne . Ce dimanche, un peu avant 6 heures du matin, un jeune homme a reçu une balle dans le dos alors qu'il se trouvait sur l'avenue Charras près de la place Delille, connu pour le trafic de drogue, selon nos informations. La victime, « dont ni l'identité ni l'âge ne sont connus » selon le parquet, a été secourue par les pompiers et transporté au CHU Gabriel-Montpied. « Son pronostic vital engagé », a précisé le procureur adjoint de la République de Clermont-Ferrand au Parisien, qui précise que le jeune homme se trouve actuellement au bloc opératoire. Une enquête a été ouverte par le parquet de Clermont-Ferrand pour « tentative d'assassinat ». Les investigations ont été confiées à la Division de la criminalité organisée spécialisée (DCOS) du Puy-de-Dôme. À ce stade, « vu le lieu des tirs », l'hypothèse d'une tentative d'assassinat en lien avec « le trafic de stupéfiant est privilégiée », explique le parquet. Néanmoins, l'enquête n'exclut pas d'autres hypothèses, « les investigations n'ayant débuté que depuis quelques heures », précise le procureur adjoint.


24 Heures
6 days ago
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Drogue en Indonésie: Une Sud-Africaine et un Brésilien arrêtés à Bali risquent la peine de mort
La femme possédait un kilo de méthamphétamine et l'homme trois kilo de cocaïne, qu'ils avaient prévu de livrer sur l'île. Publié aujourd'hui à 09h46 Les deux suspects, dont l'âge n'a pas été précisé et qui voyageaient séparément, ont été arrêtés le même jour, le 13 juillet, à l'aéroport de Bali (image d'illustration). AFP/SONNY TUMBELAKA Une Sud-Africaine et un Brésilien ont été inculpés pour trafic de drogue pour avoir tenté d'introduire à Bali plusieurs kilos de cocaïne et de méthamphétamine et risquent la peine de mort, a annoncé jeudi l'agence l'Agence indonésienne de lutte contre les stupéfiants. Les deux suspects, dont l'âge n'a pas été précisé et qui voyageaient séparément, ont été arrêtés le même jour, le 13 juillet, à l'aéroport de Bali. L'homme de nationalité brésilienne transportait deux sacs en plastique contenant un peu plus de trois kilos de cocaïne dans son sac à dos et ses bagages, a déclaré I Made Sinar Subawa, responsable de l'agence locale de lutte contre les stupéfiants, lors d'une conférence de presse. L'homme arrêté a indiqué qu'on lui avait demandé de livrer le colis à un homme vivant à Bali, selon la même source. La Sud-Africaine, qui arrivait de Singapour, a été arrêtée en possession d'environ 1 kilo de méthamphétamine dissimulé dans ses vêtements. «Sur la base de l'interrogatoire, elle a avoué qu'on lui avait ordonné de transporter la méthamphétamine de Johannesburg à Bali, pour la livrer à quelqu'un sur l'île», a déclaré M. Made précisant que les deux étrangers risquent la peine de mort s'ils sont jugés coupables. Une des législation les plus sévères L'Indonésie possède l'une des législations les plus sévères en matière de trafic de stupéfiants. Plus de 90 étrangers, dont au moins une femme, se trouvent actuellement détenus, condamnés à mort pour trafic de drogue, selon le ministère de l'Immigration et des services correctionnels. Les dernières exécutions de condamnés à mort pour trafic de drogue, celles d'un Indonésien et de trois Nigérians, remontent à 2016. Drogue en Indonésie Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


Le Figaro
21-07-2025
- Politics
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Narcotrafic : à Nîmes, l'ultra violence s'exhibe sur les réseaux sociaux
Réservé aux abonnés La vidéo de l'exécution d'une petite main du trafic de drogue s'est propagée via des boucles de messagerie tandis que les démonstrations de force se multiplient sur les réseaux sociaux. La mort en direct, ou presque. Mercredi, la découverte d'un corps carbonisé dans le paisible village de Saint-Bénézet (Gard), à une trentaine de kilomètres au nord de Nîmes avait semé l'effroi... C'était quelques heures avant qu'Ici Gard Lozère ne découvre une vidéo de l'exécution de la victime. Echangée de messagerie en messagerie, on n'en connaît à ce jour pas la boucle ou réseau d'origine. «Sur cette vidéo, la victime est d'abord en vie, mais ligotée, puis des tirs résonnent et cette personne s'effondre sous les balles. La première est tirée dans la tête, les deux autres dans le torse. La main gantée qui appuie sur la détente et l'arme d'où proviennent les tirs sont visibles sur les images», a révélé la radio. «C la zs choisissait bien votre camp» (sic) signent les auteurs. Dans le jargon local, «zs» désigne la ZUP Sud, soit le quartier de Pissevin. Un quartier prioritaire gangréné par le narcotrafic, concurrencé par d'autres points de deal, situés quant à eux plus proches du centre-ville…


Le Parisien
20-07-2025
- Politics
- Le Parisien
Fusillade à Nîmes qui a fait six blessés : deux hommes présentés à un juge
Deux personnes ont été présentées à un juge dans l'enquête ouverte après une fusillade qui a fait six blessés à Nîmes , le 26 juin dernier, indique ce dimanche une source policière au Parisien. L'incident avait eu lieu dans le quartier Valdegour, marqué par des violences récurrentes notamment liées au trafic de drogue. Les deux suspects avaient déjà été interpellés dans le cadre d'autres enquêtes ouvertes notamment pour trafic de stupéfiant. Tous deux avaient été également arrêtés en amont de la découverte d'un jeune de 19 ans mort carbonisé dans une garrigue de la campagne nîmoise. Le corps du jeune homme, tué par balles et partiellement calciné, avait été retrouvé mardi près de Nîmes. La procureure avait mis en avant « un contexte de rivalité ultra-violente entre groupes criminels locaux ». Le cadavre avait été « trouvé » mardi en fin de journée « par des promeneurs dans un endroit isolé » du village de Saint-Bénézet, à une trentaine de kilomètres de Nîmes. Une enquête avait été ouverte pour « meurtre en bande organisée et participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d'un crime ». Fin juin, une fusillade dans le quartier de Valdegour avait conduit tous les blessés à l'hôpital, l'un d'eux a eu son pronostic vital un temps engagé. Les auteurs présumés avaient pris la fuite à bord d'un Renault Master et d'une Audi noire. Le quartier situé au sud-ouest de Nîmes a été le théâtre de plusieurs fusillades tragiques, notamment en août 2023, où un enfant de 10 ans a été tué par une balle perdue , et en février 2024, lorsqu'une autre fusillade a causé la mort d'une personne près d'un point de deal. Face à l'intensification de la violence, un bureau de police avait été ouvert dans le quartier en août 2024. Il a été visé par un incendie seulement 24 heures après son ouverture. Après cette fusillade, le quartier avait été sécurisé avec les effectifs de la CRS 81.


Le Figaro
19-07-2025
- Politics
- Le Figaro
Narcotrafic : à Nîmes, l'ultra violence s'exhibe les réseaux sociaux
Réservé aux abonnés La vidéo de l'exécution d'une petite main du trafic de drogue s'est propagée via des boucles de messagerie tandis que les démonstrations de force se multiplient sur les réseaux sociaux. La mort en direct, ou presque. Mercredi, la découverte d'un corps carbonisé dans le paisible village de Saint-Bénézet (Gard), à une trentaine de kilomètres au nord de Nîmes avait semé l'effroi... C'était quelques heures avant qu'Ici Gard Lozère ne découvre une vidéo de l'exécution de la victime. Echangée de messagerie en messagerie, on n'en connaît à ce jour pas la boucle ou réseau d'origine. «Sur cette vidéo, la victime est d'abord en vie, mais ligotée, puis des tirs résonnent et cette personne s'effondre sous les balles. La première est tirée dans la tête, les deux autres dans le torse. La main gantée qui appuie sur la détente et l'arme d'où proviennent les tirs sont visibles sur les images», a révélé la radio. «C la zs choisissait bien votre camp» (sic) signent les auteurs. Dans le jargon local, «zs» désigne la ZUP Sud, soit le quartier de Pissevin. Un quartier prioritaire gangréné par le narcotrafic, concurrencé par d'autres points de deal, situés quant à eux plus proches du centre-ville…